jeudi, décembre 20, 2007

Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise?

Voila, c'est comme ça. La flemme, les courses de Noël, de bons bouquins, de bonnes séries, et le blog sommeille. (En plus je passe mes journées à écrire un rapport, alors le soir j'ai un peu envie de faire autre chose.)
Ben c'est comme ça, et pis c'est tout.

Souffrez, lecteurs exigeants, que les posts ne soient pas débités au kilomètre. On ne peut pas tout avoir: le sublime de posts admirablement bien sentis, et un rendement calibré pour la grande distribution.
Et oui, faut laisser la part du rêve, et la magie de l'inspiration faire son oeuvre. On parle art et philosophie, pas production de masse, mes braves! Je suis une frèle hirondelle portée par les vents changeants de la poésie, finalement. Flap flap, vole petite hirondelle, vole, loin du rendement sarkozyste ambiant!

Alors vous allez arrêter de râler, quitter votre confortable position de consommateur, et prendre un peu la mesure des morceaux de bonheur que je vous délivre quasi-quotidiennement. Ca vous fera les pieds, pour une fois.
De toute façon, les bouquins que je lis assidument m'expliquent qu'il faut apprendre dès le plus jeune âge à gérer sa frutration.
Non mais. Je vais pas tout vous céder, moi.

(Pffff. Chuis fatigué, moi...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Y'a plus que la méditation qui nous reste alors? Bon, on va essayer mais c'est pas gagné, même avec un président qui s'exhibe avec un comique troupier chez sa Sainteté. Ouais, entre les étals de foie gras et les rayons réfrigérés des bûches, va falloir la jouer finement pour s'isoler dans les tréfonds de notre esprit. Essayons puisque tu nous abandonnes!