mardi, novembre 13, 2007

The power of concert

Nous avons eu du mal hier à nous motiver pour aller voir la soirée du festival des Inrocks pour laquelle nous avions pris nos billets. Le genre de spectacle qu'on vise deux mois à l'avance, en se disant "oh, ben faudrait aller en voir un une fois. Un peu de rock bizarre et travaillé, ça se tente"!
Le raisonnement est bon, sauf que le jour même, ce ne sont plus les mêmes priorités qui dominent. En sortant du boulot et avant une semaine chargée en mouvements sociaux, comment dire, on se dit qu'on ne serait vraiment pas mal à la maison, tranquilles... Et pis personne ne saurait qu'on aurait séché le concert, hein...

Mais bon, vous nous connaissez, on n'est pas du genre à se laisser abattre par la flemme (quoiqu'à voir mon dynamisme au boulot cet aprem', on aurait peut-être dû...). On s'est trainé à l'Olympia quand même...
Au menu: Loney Dear (bien), Remi Nicole (bof), Beirut (superbe groupe, mitigé sur scène) et... le phénoménal Andrew Bird... Inutile que je me fatigue à vous décrire sa performance: la vidéo suivante en donne une bonne idée... C'est complétement dingue.

Le raisonnement était bon donc: IL FAUT ALLER AU CONCERT (raisonnement à amender quand un ou plusieurs Bob trainent dans les parages...). Même si je dois avouer que nous avons un peu manqué de panache en partant à 22h45 avant le dernier groupe de la soirée (Devendra Banhart)...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Comprends pas bien quand il s'apprête à poser son violon, puis le reprend alors que le thème qu'il vient de jouer avec cet instrument reprend aussi . . . j'ai vraiment rien compris?

Anonyme a dit…

Content de savoir que ces concerts Inrocks tiennent la route : j'y vais demain !
Au programme : Editors + The Noisettes + Los Campesinos + Elvis Perkins...

ZeVinci a dit…

La néophyte: il se sample lui-même. Il s'enregistre, et se rejoue en boucle, ou s'arrête quand il faut. Il gére tout ça avec un système de pédales.