Lu dans le Courier International, qui reprend le Corriere della Sera: De Silvio Berlusconi, président du conseil italien:
"Je suis le Jésus-Christ de la politique. Je suis une victime patiente; je supporte tout le monde, je me sacrifie pour chacun". C'est en ces termes qu'il a inauguré, le 11 février, la campagne pour les élctions législatives de 9 et 10 avril, alors que les sondages le donnent perdant. La veille, il cavaliere s'était pris pour Napoléon, affirmant que seul l'empereur des Français avant lui avait réussi à faire mieux pour l'Italie.
Fin de la page politique et économie, à vous les studios!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire