vendredi, décembre 25, 2009

Boulet

On pourrait s'attendre à ce que, arrivés au sommet, nous nous complaisions dans notre quant-à-soi satisfait, fermés sur les autres. Voire que, jaloux les uns des autres, nous nous complaisions dans de mesquines querelles.
Et bien vous seriez surpris de constater que nous autres, les bloggers à succès, sommes unis par un esprit de joyeuse camaraderie, sans concurrence aucune. C'est donc sans arrière-pensée aucune que je suis heureux de recommander à ceux d'entre vous qui ne le connaissent pas encore le blog de boulet, le blog BD le plus visité du web francophone.
En bon blogger qui se respecte, l'auteur nous gratifie périodiquement de notes sur des sujets divers, que ce soient des anecdotes du quotidien, générales (, , ) ou particulières à l'auteur (, , ), voire des petites réflexions philosophiques (, ,ou ) ou quelques envolées poétiques ( ou ailleurs mais je retrouve pas, cherchez vous même!). Mais son fond de commerce reste d'abord et avant tout les anecdotes étudiantes (, , , ), et des histoires de geek (, , , ).
Monsieur Boulet ne se contente pas d'avoir de bonnes idées de blagues qu'il pourrait se contenter de raconter à la va-vite. Au contraire, il les amène incroyablement bien (cette histoire de raclette par exemple), ou les illustre sous pléthore d'angles différents, avec une invention graphique renouvelée quasiment à chaque case.
Bref, non seulement on se marre comme des baleines, mais en plus c'est de la grande qualité. Et certaines notes font même un bien fou (par exemple celle là et celle là)!
Je vous conseille d'y goûter par les liens experts que je vous ai indiqué (et qui m'ont pris une petite heure à reconstituer!), mais si vous décidez de vous plonger plus avant dans l'historique de son blog, je vous signale que les notes sont éditées sous forme de BD. C'est autrement plus confortable...

1 commentaire:

une presqu'admirative a dit…

Y'a juste un truc qui me gêne c'est que Boulet est le nom de ma Chef . . . qui n'a pas ce talent, bien sûr, mais tellement d'autres . . .